Patricia, bourgeoise en rut réclame une que de plus de 20 cm

Lorsqu’on habite une petite ville de Bretagne, les statistiques sont formelles. Soit on a que des mecs à petite bite, soit on a que les étalons. Pour Patricia, 49 ans, bourgeoise en rut et célibataire depuis six mois, la taille est primordiale. Notre femme pulpeuse habite pas trop loin de Brest, dans un petit village dont elle taira le nom. Silhouette voluptueuse, formes généreuses avec de grosses fesses bien dodues et une poitrine proéminente : Patricia a envie de se faire baiser !

Ce n’est que très récemment que cette femme, ancien fonctionnaire à EDF, a pris le parti de s’inscrire sur les sites de plan cul. Autrefois, elle trouvait ça vulgaire, dégradant et humiliant pour la femme. Cependant, quelques copines lui ont avoué que ce sont les femmes qui ont le pouvoir sur ce genre de site. En effet, elles ont le pouvoir de dire non ou de dire oui sans se faire harceler. Ce concept pseudo-féministe a plutôt plu à Patricia.

Après tout, il n’y a pas de honte à assumer ses préférences en terme d’anatomie masculine. Quoi qu’il en soit, notre bourgeoise en rut, longtemps complexée par son vagin trop large, a décidé d’assumer sa morphologie un peu insolite. Oui, Patricia a envie d’avoir une grosse bite dans son lit, un étalon avec une queue de plus de 20 cm qui puisse la pilonner toute la nuit. Blanc ou Black, peu importe la couleur, du moment que le mec a une érection solide et massive. Elle donne rendez-vous uniquement chez elle parce que Patricia n’a pas le permis de conduire.

De plus, notre salope a tendance à un peu trop picoler. Il serait dommageable de prendre la route avec 2 grammes dans le pif. L’avantage de cette ivresse, c’est qu’elle crée une désinhibition totale chez Patricia, qui alors, ça donne à toutes les pratiques les plus incongrues et les plus indécente. A vous de jouer